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MessagePosté: Sam 01 Avr, 2006 17:39
de Sogoln yg Ysca
Je viens de terminer un roman italien (assez moyen) dans lequel Excalibur est une ancienne épée chalybique forgée pour Jules César et qui parvient en Bretagne après de multiples péripéties.

Elle porte donc sur sa lame la mention "Cai.Iul.Caes.Ensis.Caliburnus", d'où elle finira par tirer son nom.

Pour ceux que ça intéresse, il s'agit de La dernière légion, de Valerio Manfredi, chez Pocket.

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MessagePosté: Sam 13 Jan, 2007 1:14
de ejds
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La forêt d’Huelgoat a été le lieu de tournage du vidéo-clip de " Excalibur II, the celtic ring " : :shock::shock:

ABP a écrit:Cultures

Paris: le 11/01/07
Musique de: BABAÏKA PRODUCTIONS
Le porte parole: Karl SIGWALD


Excalibur ou la force de la légende

http://www.agencebretagnepresse.com/fet ... C3%A9gende

Six ans après le succès de l'album « Excalibur - La légende des Celtes », l'auteur-compositeur Breton Alan Simon a repris le chemin des studios où il a composé un deuxième opus de 18 titres légendaires.

L'album inclut en effet plusieurs membres fondateurs des mythiques groupes Britanniques YES, SUPERTRAMP, BARCLAY JAMES HARVEST, THE MOODY BLUES, FLEETWOOD MAC, JETHRO TULL, ALAN PARSONS, KING CRIMSON, rejoints par les poids lourds du folk : FAIRPORT CONVENTION, STEELEYE SPAN, PENTANGLE, LUNASA, FLOOK, mais aussi les Bretons du groupe MERZHIN, le pianiste DIDIER SQUIBAN, le BAGAD de St-NAZAIRE et L'ORCHESTRE SYMPHONIQUE de PRAGUE. Tous se retrouvent sur l'album concept « EXCALIBUR II - THE CELTIC RING ».

Ce nouvel épisode nous invite aux sources de la légende, au coeur du sanctuaire d'Anwynn, terre sacrée de la mythologie celtique.

L'album sortira en édition simple et en édition collector (incluant le film de l'enregistrement) le 5 février 2007 chez EMI et sera suivi au mois de mars d'une tournée événement.

Infos sur le site http://www.excaliburtrilogy.com ... www.simonalan.com

e.

MessagePosté: Sam 13 Jan, 2007 10:58
de Matrix
Bj
pour excalibur c'est à peu près ça

http://www.etymonline.com/index.php?sea ... hmode=none

MessagePosté: Sam 13 Jan, 2007 11:48
de DT
Plutarque : Vie de Jules César

XXIX. César, qui tirait parti de tous les avantages que la guerre peut offrir, et qui surtout savait profiter du temps, n’eut pas plus tôt appris cette révolte générale, qu’il partit sans perdre un instant ; et, reprenant les mêmes chemins qu’il avait déjà tenus, il fit voir aux Barbares, par la célérité de sa marche dans un hiver si rigoureux, qu’ils avaient en tête une armée invincible , à laquelle rien ne pouvait résister. Il eût paru incroyable qu’un simple courrier fût venu en un temps beaucoup plus long du lieu d’où il était parti, et ils le voyaient, arrivé en peu de jours avec toute son armée, piller et ravager leur pays, détruire leurs places fortes et recevoir ceux qui venaient se rendre à lui ; mais , quand les Éduens, qui jusqu’alors s’étaient appelés les frères des Romains et en avaient été traités avec la plus grande distinction, se révoltèrent aussi et entrèrent dans la ligue commune, le découragement se jeta dans ses troupes. César fut donc obligé de décamper promptement et de traverser le pays des Lingons, pour entrer dans celui des Séquanois , amis des Romains et plus voisins de l’Italie que le reste de la Gaule. Là , environné par les ennemis, qui étaient venus fondre sur lui avec plusieurs milliers de combattants, il les charge avec tant de vigueur, qu’après un combat long et sanglant, il a partout l’avantage et met en fuite ces Barbares. II semble néanmoins qu’il y reçut d’abord quelque échec ; car les Arverniens montrent encore une épée suspendue dans un de leurs temples, qu’ils prétendent être une dépouille prise sur César. Il l’y vit lui-même dans la suite et ne fit qu’en rire ; ses amis l’engageaient à la faire ôter ; mais il ne le voulut pas, parce qu’ils la regardaient comme une chose sacrée.


A+

MessagePosté: Sam 13 Jan, 2007 12:20
de DT
Salut,

Le temple de Mars Ultor
Le temple de Mars Ultor, construit en 2 av. J.-C., se situait sur le Forum d'Auguste. Il fut élevé en commémoration de la victoire d'Auguste à la bataille de Philippes. De ce temple, il ne reste que trois colonnes d'ordre corinthien. De nombreux dieux étaient représentés sur le fronton : Mars, Vénus, Cupidon, Romulus, le Palatin, la Fortune, la déesse Rome et le Tibre. Outre les statues, on conservait l'épée de César à l'intérieur de ce temple. Après une victoire militaire, les enseignes des ennemis y étaient déposées.

SUÉTONE
VIES DES DOUZE CÉSARS
~ VIE DE VITELLIUS ~
--------------------------------------------------------------------------------
( M. Cabaret-Dupaty, Paris, 1893 / trad. adaptée par J. Poucet, Louvain, 2001 ).

VIII.
(1) Une fois entré dans le camp, il ne refusa rien à personne. De lui-même il fit grâce de la flétrissure aux gens notés d'infamie, de l'appareil du deuil aux accusés, et du supplice aux condamnés. (2) Aussi un mois s'était à peine écoulé que, sans avoir égard ni au jour ni à l'heure, ses soldats l'enlevèrent subitement un soir de sa chambre à coucher, dans le costume familier où il se trouvait, et le saluèrent empereur. On le promena à travers les quartiers les plus populeux, tenant à la main l'épée de Jules César, qu'on avait tirée du temple de Mars, et qu'un soldat lui avait présentée pendant les premières félicitations. (3) Quand il revint au praetorium, il y avait dans sa salle à manger un feu de cheminée. Tous ses soldats étaient consternés et regardaient l'accident comme un mauvais présage: "Rassurez-vous, leur dit-il, c'est un feu de joie pour nous." Ce fut toute sa harangue. (4) L'armée de la Haute-Germanie, qui avait abandonné Galba pour le sénat, s'étant prêtée à ce mouvement, Vitellius reçut avec empressement le surnom de Germanicus que lui déférait le suffrage universel. Il n'accepta pas sur-le-champ le titre d'Auguste, et refusa toujours celui de César.


A+

MessagePosté: Sam 13 Jan, 2007 23:36
de Matrix
Bj concernant l'étymologie d'Excalibur
j'aurais tendance à la rapprocher d'une racine IE Skal-/Skel- = Ddécouper/Diviser

Latin Scalpere (découper)
Germanique Skelf (Fente) et Skaljo (Diviser) < Anglais Shelf (Ecueil) et Allemand Schliff (Aiguisé). Vieux Norrois Skiljia (Séparer), Vieux Frisien Skyl ( Eplucher)
qu'on retrouve dans le Manx Skeayltagh (Séparatiste) (?)
et aussi Manx Scoltey/Skeilt (Fissure) et Scolb (Fine tranche)

Donc un rapport avec une épée qui pourfend (?)
Le site Gallois donne comme proto-celtique "Skalba"
voulant dire "Brèche/Crevasse/Fissure/Trou"
:140:

à replacer dans le forum linguistique

MessagePosté: Dim 14 Jan, 2007 0:51
de Taliesin
il me sembalit qu'excalibur était une déformation du gallois caledfoulc'h = dure entame, dur tranchant

MessagePosté: Dim 14 Jan, 2007 13:53
de Matrix
Oui Taliesin
j'avais la même interprêtation que toi
Excalibur = dure entaille = durandal (?)

j'en proposais une autre

MessagePosté: Dim 14 Jan, 2007 14:37
de Taliesin
je viens de trouver ceci sur le net :

"Le motif de la discussion concernant *antalh (ci-dessus, § 2.1) était que j’avais fait observer que le nom de l’épée d’Arthur, en breton Kaled-vouc’h (dure-entaille), donnait en britto-roman du Nord dur(e)-antal. Il en découle que le nom de l’épée de Roland, Durandal, est en fait emprunté à la tradition arthurienne bretonne. Cela n’est pas sans importance culturelle."

tiré du site d'Alan Raude :

http://www.maezoe.com/doc-fonohist.htm

MessagePosté: Dim 14 Jan, 2007 16:15
de Matrix
Concernant l'épée de César
j'avais lu qq part que César avait perdu son épée au cours d'un engagement
mais je n'arrive pas à retrouver mes sources et je me demande si c'était pendant la guerre des gaules
je ferais allusion au texte controversé donné par JP Savignac
dico francçais-gaulois P. 112
Merde = Cecos/Cacos
Mot peut être à reconnaître dans la seule phrase articulée en gaulois que nous ait laissée l'antiquité, rapportée par Servius (fin du 4° s.) dans Ad AEN.
11, 743 :
... namque C.I Ceasar cum dimicaret in Gallia et ab hoste raptus equo eius portatur armatus, occurit quidam ex hostibus, qui eum nosset, et insultans ait : ceccos ac caesar (var. caesar, caesar), quod Gallorum lingua "dimitte" significat : e ita factum est ut dimitteretur. Hoc autem ipse Caesar in ephemeride sua dicit, ubi propriam commemorat felicitatem....
... et en effet comme Caiius Julius César combattat en Gaule et, et enlevé sur son cheval, un des ennemis, qui le connaissait, l'insulta en disant "Ceccos ac Caesar" ce qui signifie en gaulois "Relâche-le !" et il fut relâché. césar lui-même le dit dans ses Commentaire, où il mentionne la chance qui fut la sienne.

...Note de JP Savignac : comme rien ne corrobore en Celtique le sens de "relâcher" pour Ceccos, force est de conjecturer une transcription fautive peut être cele d'un caccos qu'on rapproche du vieil irlandais cacc, Gallois cach = excrément et latin cacare = [censuré].... donc merde à César

MessagePosté: Lun 15 Jan, 2007 10:38
de DT
Salut,

LA CHANSON DE ROLAND
Manuscrits : Oxford (O), Saint-Marc, Collection de G. B. Recanati (V4), Saint-Marc, Collection de G. B. Recanati (V7), Châteauroux (C), Paris (P), Bibliothèque de Lyon (L), Trinity College (T), Karlamagnussaga (K), Ruolandesliet (R).

Vers : 4002 décasyllabes.

Laisses : 291.

Date de composition : 1098.

Auteur : Turold (?)

Langue : Dialecte Anglo-normand dans le manuscrit.

Edition : Jean Dufournet, Paris, GF-Flammarion, 1993.

Conservée sous sa forme la plus ancienne dans un manuscrit copié entre 1125 et 1150 (manuscrit dit d'Oxford), La Chanson de Roland pose une série d’énigmes qui ont longuement nourri les débats critiques. Par quelles voies un événement historique, le désastre subi par l’arrière-garde de l’armée de Charlemagne à Roncevaux, le 15 août 778, s’est-il transmis jusqu’à la fin du XIe siècle ? Pourquoi est-ce à ce moment-là que le souvenir en a été comme réactivé ? Comment expliquer d’autre part la perfection formelle de ce premier témoin conservé de l’art épique ? À partir de quels modèles médio-latins et romans s’est forgée une technique épique aussi aboutie ?

Roland commence au moment où « Carles li reis nostre emperere magne » (« Le roi Charles, notre grand empereur », v. 1) vient de dévaster l’Espagne sarrasine et où ne résiste plus que Saragosse, que tient le païen Marsile. La ruse mise au point par les Sarrasins avec la complicité du traître Ganelon, conduit à une attaque surprise de l’arrière-garde chrétienne commandée par Roland, le neveu de Charlemagne. Au cours des âpres combats qui s’engagent, Roland refuse d’abord de sonner du cor pour rappeler Charlemagne, comme le lui demande son compagnon Olivier. Mais, trop peu nombreux, les combattants chrétiens sont peu à peu massacrés. Roland sonne enfin du cor, se rompt une veine et meurt en odeur de sainteté tout en restant maître du champ de bataille.

CLXXIII
Rollant ferit en une perre bise,
Plus en abat que jo ne vos sai dire.
2340 L'espee cruist, ne fruisset, ne ne brise,
Cuntre ciel amunt est resortie.
Quant veit li quens que ne la freindrat mie,
Mult dulcement la pleinst a sei meïsme:
«E! Durendal, cum es bele e seintisme!
2345 En l'oriet punt asez i ad reliques:
La dent seint Perre e del sanc seint Basilie,
E des chevels mun seignor seint Denise,
Del vestement i ad seinte Marie.
Il nen est dreiz que paiens te baillisent;
2350 De chrestiens devrez estre servie.
Ne vos ait hume ki facet cuardie!
Mult larges teres de vus avrai cunquises,
Que Carles les tent, ki la barbe ad flurie.
E li empereres en est ber e riches.»
CLXXIV
2355 Ço sent Rollant que la mort le tresprent,
f.43r Devers la teste sur le quer li descent.
Desuz un pin i est alet curant,
Sur l'erbe verte s'i est culcet adenz,
Desuz lui met s'espee e l'olifan (en sumet);
2360 Turnat sa teste vers la paiene gent;
Pur ço l'at fait que il voelt veirement
Que Carles diet e trestute sa gent,
Li gentilz quens, qu'il fut mort cunquerant.
Cleimet sa culpe e menut e suvent;
2365 Pur ses pecchez Deu (recleimet) en puroffrid lo guant. (AOI).

CLXXIII
ROLAND frappa contre une pierre bise. Il en abat plus que je ne sais vous dire. L'épée grince, elle n'éclate ni ne se rompt. Vers le ciel elle rebondit. Quand le comte voit qu'il ne la brisera point, il la plaint en lui-même, très doucement : « Ah ! Durendal, que tu es belle et sainte ! Ton pommeau d'or est plein de reliques : une dent de saint Pierre, du sang de saint Basile, et des cheveux de monseigneur saint Denis, et du vêtement de sainte Marie. Il n'est pas juste que des païens te possèdent : des chrétiens doivent faire votre service. Puissiez-vous ne jamais tomber aux mains d'un couard ! Par vous j'aurai conquis tant de larges terres, que tient Charles, qui a la barbe fleurie ! L'empereur en est puissant et riche. »
CLXXIV
ROLAND sent que la mort le prend tout : de sa tête elle descend vers son cœur. Jusque sous un pin il va courant ; il s'est couché sur l'herbe verte, face contre terre. Sous lui il met son épée et l'olifant. Il a tourné sa tête du côté de la gent païenne : il a fait ainsi, voulant que Charles dise, et tous les siens, qu'il est mort en vainqueur, le gentil comte. A faibles coups et souvent, il bat sa coulpe. Pour ses péchés il tend vers Dieu son gant.

++++++++++

Ainsi Durendal, et non pas Durandal ; pas d’épée fichée dans le roc; et un dialecte Anglo-Normand.

Une version tardive de la légende veut que Roland ait alors appelé l'archange Saint Michel à l'aide, puis lancé l'épée vers la vallée. Celle-ci traversa alors miraculeusement plusieurs kilomètres avant de se ficher dans le rocher de Notre-Dame de Rocamadour où on peut encore l'admirer aujourd'hui.

Rocamadour (Lot). Pèlerinage à la Vierge noire depuis le haut Moyen Age (chemin de dévotion et de pénitence imposé par les tribunaux de l'Inquisition). En 1166, on trouve le corps intact d'un ermite (depuis lors nommé Amadour et parfois assimilé à Zachée). 1172, le Livre des miracles de N.-D. de Rocamadour (à la Bibliothèque nationale) mentionne des pèlerins d'Espagne, Italie, Allemagne, Angleterre, Pays-Bas, et du Proche-Orient. Du XIIe au XIIIe s., les Bénédictins construisent chapelles et monastères, les cisterciens granges et moulins. Trouvères et troubadours chantent la Dame de Rocamadour (Durendal fichée dans le rocher rappelle la Chanson de Roland). PÈLERINS ATTESTÉS : St Dominique, St Engelbert de Cologne, Raymond Lulle, St Antoine de Padoue, Henri II Plantagenêt, Blanche de Castille, St Louis, Philippe le Bel, Louis XI... 1383 chapelle dédiée à N.-D. de Rocamadour à Camaret (Bretagne). 1545 Jacques Cartier invoque N.-D. de Rocamadour et implante son culte au Canada. Ruinée 1562 (huguenots), puis à la Révolution. Ruines restaurées 1835. PÈLERINAGE DIOCÉSAIN : semaine du 8-9. Ascension du grand escalier (223 marches) et chemin de croix dans la falaise depuis 1887. 950 000 v. (40 % d'étrangers d'avril à octobre).

A+

MessagePosté: Lun 15 Jan, 2007 10:50
de DT

MessagePosté: Lun 15 Jan, 2007 14:15
de Taliesin
Bonjour :D

si je comprends bien, le britto-roman du Nord, c'est le parler gallo de la région doloise et de Fougères.
Y a-t-il un grosse différence entre ce dialecte et l'anglo-normand, sachant que l'anglo-normand, c'est le dialecte parlé par les Normands installés en Normandie - en clair une variété de vieux-français - et qu'avec ces Normands, il y avait un contingent assez important de "britto-roman", c'est-à-dire des Bretons de Dol et Fougères ?

Il me semble que l'anglo-normand devait être assez proche du normand continental, assez proche aussi des parlers romans du nord-est de la Bretagne.

coup d'épée dans l'eau ?

MessagePosté: Lun 15 Jan, 2007 14:50
de Matrix
Merci DT pour Ceccos = merdum
Mais mon idée première n'était pas ceccos mais de trouver une source prouvant que César avait perdu son glaive lors d'un engagement (source que je n'ai pas encore retrouvé) j'ai sauté sur Savignac rapportant un texte étrange de Servius relatant une hypothétique et brève captivité de César lors d'un engagement ...
Mon autre idée était que le mot Excalibur ne soit peut-être pas d'origine Celtique mais "Latine" :130: , oui je sais je vais me faire flinguer
enfin ce n'est qu'une proposition, car j'ai bien trouvé le Manx Scolb (fine tranche) d'où peut-être le proto-celtique Skalba (crevasse) du site Gallois ?

avec une évolution/altération
de Scalpere verbe Latin "entailler" < scalpera littéralement "l'entailleuse" < scalbera < scalbura < scalbura < scalibura < escalibura < excalibur
Puisque le mythe Arthurien (s'il s'agit d'un mythe) commence à compter de la déconfiture de l'empire Romain en Celtique Insulaire (vers + 400 AP JC) et que le nom même d'Arthur est Latin (si l'on écarte l'origine Celtique Arthur = Artorius = Ours)
Pourquoi l'épée qui le symbolise ne porterait pas un nom tout aussi Latin que lui :
Scalpera qui serait devenue Excalibur (?)

MessagePosté: Lun 15 Jan, 2007 16:22
de Agraes
On a pourtant en gallois Caledfwch qui est le pendant de l'irlandais Caladbolg :wink: