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L'utilisation tardive des chars de guerre en Bretagne

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Modérateurs: Pierre, Guillaume, Patrice

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37 messages • Page 3 sur 3 • 1, 2, 3

Messagede ejds » Jeu 16 Fév, 2006 23:46

Avant de continuer un peu, où en sont les préparatifs ? : :shock::shock:

"Ben-Hur" par Robert Hossein : 100.000 billets vendus à 7 mois de la première
16-02 20:22:54

http://actu.voila.fr/Depeche/ext--franc ... fh0z4.html

A sept mois de sa première représentation au Stade de France à Saint-Denis, "Ben-Hur", la nouvelle super-production de Robert Hossein écrite par l'historien académicien Alain Decaux, affiche déjà un peu plus de 100.000 billets vendus, a indiqué jeudi soir la production.

300.000 spectateurs sont espérés pour les quatre représentations programmées les 22, 23, 29 et 30 septembre.

Le spectacle en dix tableaux emploiera des dizaines de comédiens et figurants dans une configuration de 15.000 M2 qui reproduira le site d'un cirque dans l'Antiquité.

Le clou de la production devrait être la fameuse course de chars pour laquelle chevaux et cascadeurs ont commencé déjà un entrainement qui s'étale sur neuf mois. Seront aussi reconstitués des combats de gladiateurs, un défilé de l'armée romaine, la construction d'une galère.

Robert Hossein entend jouer également sur "l'interactivité, en recréant dit-il, l'ambiance des cirques et des théâtres antiques". A cet effet, chaque spectateur portera les couleurs de son équipe pour l'encourager lors des combats de gladiateurs.

Les prix des places va de 25 à 90 euros.

© AFP.

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Messagede ejds » Mer 26 Avr, 2006 9:44

Image Soirée costumée
Construites au premier siècle de notre ère, les anciennes arènes de Lutèce avec une capacité d’accueil d’environ 17.000 personnes, auraient été bien trop petites pour accepter une véritable course de chars : :shock:
http://www.insecula.com/salle/MS02428.html

Vue panoramique : http://www.insecula.com/salle/panorama_MS02428.html

:oops: Euh !!... Envie de vous déguiser en Romain de l'Antiquité ? Une soirée costumée est proposée lors du spectacle de Ben-Hur : :(

"Ben-Hur" selon Robert Hossein : 150.000 billets vendus et nouvelle séance
19-04 12:44:01

http://actu.voila.fr/Depeche/ext--franc ... fxp3t.html

Le spectacle "Ben-Hur", que prépare Robert Hossein au Stade de France de Saint-Denis (Seine-St.-Denis) pour la rentrée de septembre, a déjà vendu 150.000 billets et une nouvelle séance est dès à présent prévue, ont annoncé mercredi les organisateurs.

Le Stade de France ouvre à la vente une 5e séance le 26 septembre, qui s'ajoute aux représentations des 22, 23, 29 et 30 septembre.

La soirée du 26 septembre devrait avoir "une saveur particulière", annoncent les organisateurs.

Pour cette nouvelle séance, les spectateurs sont invités à venir costumés tels des Romains de l'Antiquité, avec toge ou tunique, coiffures de couronnes de laurier et bijoux fantaisie. "Une manière originale d'être plongé véritablement dans l'époque romaine, de s'imprégner de l'ambiance des jeux du cirque en soutenant les combats des gladiateurs et la fabuleuse course de chars", commente le metteur en scène.

Les places (de 25 à 90 euros) sont vendues dans 600 points : Carrefour, Fnac, Auchan, Virgin, E. Leclerc, Géant, ou par téléphone au 0892 700 900.
Site web : www.stadefrance.com / www.benhur.fr

© AFP.

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Messagede ejds » Mar 23 Mai, 2006 15:03

Épique hippique

Une manière ludique d’exhiber leur dextérité et de mesurer la vitesse de leurs chevaux, comment les Celtes à bord de leurs chars occupaient leurs "dimanches et jours fériés" entre la guerre et le toit de chaume à refaire ?
Est-ce que les courses de chars étaient l’apanage exclusif des Gréco-romains ?!... :?

Ainsi à Olympie, en 500 av. J.-C., alors que différents types de courses de chars tirés par quatre chevaux adultes (tethrippon), ou deux (synoris) avaient lieu, d’autres étaient aussi organisées avec des juments ou des poulains. On introduisit même la course de char à mulets (apene) ainsi que la « course du trot » (kalpé), mais les deux furent abandonnés, la première en tout cas se révélant indigne d’Olympie.

courses de chars.

En Grèce, les courses de chars des fêtes* panhelléniques remontent à l’époque archaïque. Les chars avaient deux roues et ressemblaient à ceux décrits par Homère, servant à transporter le guerrier sur le champ de bataille. Leur caisse était basse, arrondie à l’avant et ouverte à l’arrière, l’ensemble était bas sur roues. Les tablettes en linéaire* B de Cnossos (Crète) montrent que le char faisait partie intégrante de l’équipement militaire de l’époque. Décoré et peint, portant des inscriptions d’ivoire, des accessoires de bronze, voire d’argent, ses roues étaient en bois d’orme ou de saule.

Le char de guerre était généralement tiré par deux chevaux, attelés de chaque côté du timon.

Les chars à quatre chevaux auraient fait leur entrée aux jeux Olympiques en 680 av. J.-C.. Les chevaux du milieu étaient attelés que par des traits. Pausanias décrit le processus complexe du départ de la course de chars aux jeux olympiques, dont elle était l’épreuve d’ouverture et qui constituait un spectacle splendide. Les stalles étaient disposées en forme de proues de navire ; pour ne pas léser les attelages rangés aux extrémités, le départ se faisait en plusieurs étapes : des cordes tendues devant chaque stalle étaient lâchées les unes après es autres ; les attelages situés aux extrémités partaient les premiers. Le signal du départ était donné par des sonneries de trompette et par un mécanisme qui élevait un aigle de bronze et abaissait un dauphin de bronze.

Le plus grand nombre de chars que l’on ait vu dans une course fut de quarante et un ; un seul termina la course. La piste de l’hippodrome d’Olympie était caractérisée par une ligne de départ large de 250 m au moins, et par deux bornes, une à chaque extrémité, qui n’étaient pas reliées par une barrière, la distance entre les bornes étant de 400 m environ. La distance à parcourir était d’environ 10km, soit 12 tours de piste.
En Grèce, le bénéfice de la victoire était attribué non pas à l’aurige mais au propriétaire de l’attelage. Une femme pouvait donc remporter l’épreuve ; la première femme vainqueur à Olympie fut Cynisca, sœur du roi de Sparte Agésilas, en 396 et 392 av. J.-C.

A Rome, les courses de chars s’inspiraient des courses grecques et elles devinrent l’un des principaux spectacles du monde romain. Le char romain ressemblait au char grec, si ce n’est que la caisse était plus haute à l’avant.
Les premières courses eurent lieu à l’époque républicaine, dans le Circus Maximus, où la piste était divisée en deux par un muret appelé spina. La course se faisait sur sept tours de piste, avec six chars en compétition (sur la manière dont on donnait le départ, voir CIRQUE).
A l’époque républicaine, les chars appartenaient à des citoyens riches (comme en Grèce).

Sous l’Empire, ils appartenaient à des associations qui se distinguaient par leurs couleurs, d’abord le rouge et le bleu, puis le bleu et le vert. L’empereur Domitien ajouta le pourpre et l’or, mais ces couleurs ne semblent pas avoir survécu à son règne. Le public prenait parti pour les différentes écuries et pariaient sur les couleurs. Les conducteurs vainqueurs recevaient d’importantes sommes d’argent. Pline raconte que Caecina de Volterra, propriétaire d’une écurie, avait des hirondelles peintes à ses couleurs, dressées pour annoncer ses victoires.

A la fin de l’Empire, le public exprimait sa désapprobation du gouvernement en acclamant les couleurs qui n’étaient pas les couleurs favorites de l’empereur ou de ses fonctionnaires (voir JUSTINIEN).

Dictionnaire de l’Antiquité,
M.C. Howatson, Éditions Robert Laffont, 1993, pp. 206, 261.

Circus Maximus (en latin : Cirque le plus grand)

D'une capacité de 250,000 places, le grand Cirque était indéniablement le plus important de Rome et même de l'Empire : :shock::shock:

http://www.maquettes-historiques.net/page18G.html

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Messagede ejds » Mer 13 Sep, 2006 11:53

Le Monde.fr a écrit:Redécouverte d'une tombe gauloise perdue depuis 1876
LE MONDE | 12.09.06 | 15h39 • Mis à jour le 12.09.06 | 15h39

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 978,0.html

Sous la direction de Bernard Lambot, trois "tombes à char" du début du second âge de fer (450 à 50 av. J.-C.) viennent d'être mises au jour dans un champ de la commune de Somme-Tourbe, à 70 km de Reims (Marne). Sur ces trois tombes où reposaient, à même leur char, d'importants chefs de tribu, une est connue de tous les spécialistes de la période : la tombe de la Gorge-Mailly (anciennement Gorge-Meillet), qui remonte à environ 400 avant notre ère.

Une fouille y avait été menée en 1876 par le receveur des contributions Fourdrignier et son contenu exposé aussitôt au Musée d'archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye, qui venait d'être créé. Le squelette, le char gaulois et les offrandes déposées à côté du mort constituent un des fleurons du musée. Mais, malgré son importance, le site n'avait jamais été étudié ni même localisé. "A l'époque, seul le contenu des tombes intéressait les chercheurs, explique Olivier Brun, du service archéologique de la DRAC de Champagne-Ardenne. La structure des sites ainsi que leur localisation exacte n'étaient pas renseignées."

PROSPECTION AÉRIENNE

C'est en décelant par prospection aérienne des reliefs étranges dans un champ d'orge que Bernard Lambot a situé les tombes. Une fois la récolte de juillet passée, une quinzaine d'archéologues ont pu fouiller en août.

La vue du ciel n'était pas une vue de l'esprit : outre quelques tranchées de la première guerre mondiale, trois monuments funéraires de 18 mètres de diamètre chacun ont été mis au jour. Ils sont espacés l'un de l'autre d'une trentaine de mètres et percés en leur milieu d'une tombe carrée ou rectangulaire, où des creux circulaires et de la rouille marquent la présence des deux roues des chars gaulois.

Une fois la localisation et la structure des sites établies, Bernard Lambot a découvert, en bordure de la première et plus célèbre tombe, un squelette vieux de 2 200 ans. "Il s'agit selon toute vraisemblance d'un descendant de la personne enterrée là deux cents ans avant lui", explique-t-il.

Le squelette, en parfait état de conservation, a été entreposé au Centre de recherches archéologiques de Compiègne. Il devra y être séché, nettoyé et reconstitué, avant qu'un anthropologue vienne en déterminer le sexe, l'âge et la taille. A terme, il pourrait rejoindre la collection du Musée d'archéologie nationale (puisque le musée détient le "reste" de la tombe), ou celle du Musée d'histoire et d'archéologie Saint-Rémi de Reims.

Guillaume Lévy
Article paru dans l'édition du 13.09.06

Il y a 400 av. J.-C., dans l'île de Bretagne aussi, l’art de la charronnerie du char de Wetgang.
Reconstruction étape par étape : :shock::shock:

bbc.co.uk a écrit:Wetwang Chariot

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Follow the reconstruction of the Wetwang Chariot stage by stage and then test yourself on how much you remember.

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Messagede ejds » Sam 06 Jan, 2007 1:10

Histoire d'un char

timesonline.co.uk a écrit:The Times .................................. January 05, 2007

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Why covet ancient chariots...
Richard Owen

http://www.timesonline.co.uk/article/0, ... 86,00.html

ITALY Conservationists are campaigning for the return of a unique Etruscan “golden chariot” which is due to form the centrepiece of a new exhibition this Spring at the Metropolitan Museum in New York.

The chariot, found in 1902 by a farmer at Monteleone near Spoleto in Umbria, and sold to the Met the next year, dates back to the 6th century BC. It is the star attraction in a collection of antiquities to go on show at the $155 million (£80million) Leon Levy and Shelby White Court at the museum.

Villagers in Monteleone (population 651), say that it was exported illegally. The campaign comes as Italy is stepping up its battle to regain a number of allegedly looted antiquities from institutions including the Met and the Getty Museum in Los Angeles.

The farmer who found the chariot sold it — for two cows, according to some accounts — to dealers who allegedly smuggled it to New York.

Tito Mazzetta, a lawyer in Atlanta, Georgia, whose family came from Monteleone and who has taken up the case, said the Metropolitan Museum had so far refused to return the chariot, although it “has not produced any documentation to prove its legal provenance”.

Marion True, a former curator of antiquities at the Getty Museum, is currently on trial in Rome for allegedly acquiring stolen artefacts.

En traduction pout Taliesin, Muskull et autres monoglottes perchés dans l'Arbre :wink: :

Pourquoi convoiter les chars antiques…

Richard Owen

Les conservateurs italiens font campagne pour le retour d'un unique « char doré » étrusque qui va former ce printemps la pièce maîtresse d'une nouvelle exposition au Metropolitan Museum à New York.

Le char, trouvé en 1902 par un fermier à Monteleone près de Spoleto en Ombrie, et vendu au Met l'année suivante, remonte au 6ème siècle avant Jésus Christ. C'est la star attraction dans une collection d'antiquités qui vont être exposées au $155 millions (£80 million) Leon Levy and Shelby White Court au musée.

Les villageois de Monteleone (population 651), disent qu'il a été exporté illégalement. La campagne arrive alors que l'Italie intensifie sa bataille pour retrouver un certain nombre d'antiquités illégalement pillées par des institutions comprenant le Met et le Getty Museum à Los Angeles.

Le fermier qui a trouvé le char l'a vendu - contre deux vaches, selon quelques informations - aux revendeurs qui l'ont passé semble-t-il en contrebande à New York.

Tito Mazzetta, un avocat à Atlanta, Georgia, dont la famille vient de Monteleone et qui défendu le cas, dit que le Metropolitan Museum avait jusqu'ici refusé de renvoyer le char, bien qu'il « n'ait produit aucune documentation pour prouver sa provenance légale ».

Marion True, un ancien conservateur des antiquités au Getty Museum, est actuellement en procès à Rome pour avoir acquit indûment les objets d’art volés.


Comment reconnaître la provenance d'un char d'après ses roues : :shock::?

fr.wikipedia.org a écrit:Tout ou partie de cet article est issu de la traduction de l'article sous licence GFDL
................................................ « (en) Etruscan chariot » .

..................... Consultez l'historique de la page originale pour connaître la liste de ses auteurs.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Char_%C3%A9trusque


Le seul char étrusque retrouvé intact date de l'an 530 av. J.-C. et est conservé au Metropolitan Museum of Art de New York.

Le char était un élément d'une "tombe à char" et contenait ainsi les restes de deux corps humains accompagnés de leurs calices. Il est orné de plaques de bronze et d'ivoire représentant en relief des scènes mythologiques, et rappelant le chaudron de Gundestrup.

Le char mesure 1,31 m de hauteur. Ses roues ont neuf rayons, contre quatre pour les chars grecs classiques, six pour les égyptiens, huit pour les assyriens ou les perses, les roues des chars celtes en comportant jusqu'à douze.

Il fut retrouvé en 1902 à Monteleone di Spoleto, près de Spoleto en Ombrie (province de Pérouse), par un paysan, Isidore Vannozzi, alors qu'il creusait une cave à vin. Vannozzi, inquiet que les autorités pussent le lui confisquer, le cacha dans sa grange et le vendit plus tard à deux Français contre, selon la famille, deux vaches (ou selon le maire du village, contre trente tuiles de terre cuite). Des rumeurs persistantes indiquent que d'autres pièces notoires auraient été découvertes à la même époque et vendues séparément sur le marché noir.

Le char fut ensuite vendu au Metropolitan museum à Florence en 1903, et illégalement exporté hors d'Italie. La commune de Monteleone, où une copie grandeur nature du char est exposée depuis le milieu du XXe, cherche toujours à le récupérer, mais les porte-parole du musée ont "respectueusement décliné" sa demande.


Liens externes

Image du char en trois dimensions et en haute définition sur le site du MET.

Un article du Daily Telegraph sur la controverse (2005).


Le décor principal sur les trois côtés du char se réfère à la vie d'un héros, Achille.

Au centre, il reçoit l'armure de Thétis, sa mère. D'un autre côté, il s'engage dans le combat avec un autre héros, probablement Memnon ; de l'autre côté, il apparaît dans un char tiré par des chevaux ailés : :shock::?


......Image
..... Etruscan chariot
..... Monteleone di Spoleto

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Messagede Marc'heg an Avel » Sam 06 Jan, 2007 10:25

Salut,

J'ai mis en ligne deux images publiées en Italie en 1962 :

- l'état du Circus maximus en 1962 :

http://marikavel.org/rome/circus-maximus-1962.jpg

et une reconstitution, vue intérieure, à partir de cette photo :

http://marikavel.org/rome/circus-maximus-1962-rec.jpg

JCE :)
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Messagede Marc'heg an Avel » Mar 09 Jan, 2007 10:12

Image

Tout l'Univers. N° 10.

Avec cette légende :

"Char de guerre d'un prince picénien, retrouvé dans une tombe à Novilaro (près de Pesaro, dans les Marches italiennes), parmi beaucoup d'autres objets. Il a dû être reconstitué en partie, car plusieurs pièces manquaient".

Pour doc.

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